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lunes, 31 de diciembre de 2012

Un deseo por los presos del SME 2013

Feliz 2013 de lucha

Aldo Conde A.
http://smirmidones.blogspot.mx
Lunes 31 de diciembre de 2012


El enemigo no es tan pequeño como creemos, ni tan grande como él cree. Lo que nos hace fuertes es estar hermanadxs, compartir ideales sin importar nuestras formas de pensar. Creo que quien logra blandir su dignidad como bandera, merece un lugar por demás especial en el corazón.

Mis pies han caminado cientos de caminos y mi mente miles de percepciones y siempre has estado ahí, siempre me llenas de fuerza y convicción, nunca dejo de pensar que eres el impulso que nunca me deja, que no me abandona.

Feliz año 2013, deseo que crezca tu capacidad de voluntad, de crear y de resistencia. El mañana nos depara más pelea y un despertar más poderoso. Te agradezco que estés en mi camino para que juntos logremos cambiar lo que está mal; lo que te daña, lo que me lastima.

Gracias por ser mi hermanx en esta batalla. Mientras tu espíritu no se rinda, me verás luchando.


Para luchar nacimos, para vencer vivimos...Patria o muerte hermanxs, venceremos.

viernes, 28 de diciembre de 2012

Mesa con dos liberados, tras detenciones arbitrarias 1° de diciembre



Créditos a quien corresponda, este video fue encontrado en internet, la responsabilidad de http://smirmidones.blogspot.mx es solo por su difusión.

¿Ayuda o injerencia? EE.UU. financiará un programa de transparencia en México



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jueves, 27 de diciembre de 2012

Modificación del artículo 362 y detenciones arbitrarias del 1° de dic.





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jueves, 20 de diciembre de 2012

miércoles, 19 de diciembre de 2012

lunes, 17 de diciembre de 2012

viernes, 7 de diciembre de 2012

AL "PRESIDENTE ELECTO" LE DICTAN QUE DECIR ¡¡¡QUE MACABRO ESTÁ ESTO!!!



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martes, 4 de diciembre de 2012

Manifestante Derribado Con Balas De Goma Impiden Auxiliar #1DMX

El Corazón Delator Taller De Teatro Del SME

Una Flor Roja Taller De Teatro Del SME

El ídolo Taller De Teatro Del SME

Ella Y él Taller De Teatro Del SME

El Niño Perdido Taller De Teatro Del SME

El Billeterito Taller De Teatro Del SME

Dip. Aleida Alavez se pronuncia en tribuna a favor del SME



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Corren a Reporteros De Televisa Del Zócalo DF

Denuncian Detención Injustificada En 1DMX

Trinidad Ramírez (FPDT) En Mítin Por Presos Políticos #1DMX

Hector De La Cueva En Mítin Por Presos Políticos #1DMX

LTS Acusa a Reporte Indigo Por Acusaciones Falsas

Pronunciamiento De #yosoy132 DH En La Marcha Por Presos #1DMX

Pronunciamiento De #yosoy132 Por Detenidos En #1DMX

Pronunciamiento De Familiares De Detenidos El #1DMX

Sentido Comunicado De Familiares De Presos En El #1DMX

La lutte contre le gouvernement frauduleux continue

Par Parti révolutionnaire des travailleurs (PRT, section mexicaine de la IVe Internationale) le Lundi, 03 Décembre 2012

Le 1er décembre, Peña Nieto a été investi comme président de la République du Mexique. Cela grâce à une élection frauduleuse qui permet au PRI de revenir au pouvoir. Ce parti a dominé le Mexique durant 71 ans avec un régime autoritaire de quasi parti unique qui a muselé les droits des citoyens. La Convention nationale contre l’élection imposée a dénoncé cette usurpation de pouvoir par une manifestation devant le parlement à Mexico.

Samedi 1er décembre Enrique Peña Nieto prêtera finalement serment devant le Congrès de l’Union comme président. Le Parti de la révolution démocratique (PRD) et les partis du prétendu Mouvement progressiste (1) se sont engagés à ne pas occuper la tribune du Parlement et à ne réaliser aucune action qui empêche la passation de pouvoir. Nous assisterons, tout au plus, à d’énergiques discours « critiques ». Au même moment, le PRD (2) a accepté de négocier un pacte « pour le Mexique » avec le PRI (3) et le PAN (4).



La Convention nationale contre l’élection imposée née à Atenco à l’initiative du mouvement étudiant YoSoy132 « Je suis le 132 », a organisé au cours des derniers mois diverses actions pour contester le supposé triomphe électoral de Peña Nieto et le retour du PRI au Gouvernement fédéral. Parmi ces actions figurait une mobilisation le 1er décembre devant le Parlement à San Lázaro. Au cours des derniers mois, de nombreux coups ont été portés au mouvement de la Convention nationale contre l’élection Imposée, contribuant à son isolement et à son affaiblissement. Cette situation s’est encore renforcée à la veille de la prestation de serment de Peña Nieto.

Andrés Manuel López Obrador (AMLO), victime de la fraude électorale qui imposa Peña Nieto à la présidence, a choisi, au lieu de s’unir à la Convention Nationale, de se cantonner à une manifestation de caractère purement symbolique et d’investir toutes ses forces à la transformation du Mouvement pour la Régénération Nationale (MORENA) en parti politique (5). Ce premier décembre, MORENA a convoqué un meeting de dénonciation à proximité de l’Ange de l’indépendance, c'est-à-dire le plus loin possible de San Lázaro et du Zócalo où Peña Nieto se réunira avec ses amis après la prestation de serment. De son côté, le PRD appelle à une concentration au Monument à la révolution, également loin du théâtre des événements.

C’est donc principalement YoSoy1322 et d’autres organisations de la Convention nationale qui manifesteront devant le siège du Parlement à San Lázaro. Face à la difficile situation créée par l’attitude conciliatrice et l’abandon de la lutte par les secteurs conciliateurs, le mouvement doit pouvoir bénéficier de la solidarité la plus large face aux menaces répressives des gouvernements du PAN et du PRI.

Bien évidemment, l’arrivée de Peña Nieto et du PRI au pouvoir représente la continuité néolibérale des gouvernements du PAN et de la stratégie guerrière de Calderón. La nomination par Peña Nieto du Général Naranjo, artisan du paramilitarisme et du Plan Colombie dans ce pays, au poste de conseiller principal en matière de « sécurité » le démontre amplement.

Malgré l’arrivée au pouvoir de Peña Nieto, la lutte contre ce nouveau gouvernement usurpateur et illégitime se poursuit. Cette lutte sera dirigée principalement contre les réformes structurelles, en réalité néolibérales, et contre la militarisation et la violence qui règnent actuellement dans le pays. Même si le PRI obtient, au niveau institutionnel, la collaboration de l’opposition parlementaire qui inclut celle des forces « progressistes », à un niveau social et politique plus large la résistance et l’opposition à ce gouvernement se poursuit. Avec l’acceptation de la première de ces réformes, la révision de la loi sur le travail, apparaissent de nouveaux acteurs dans la lutte, notamment le mouvement ouvrier comme le démontre la récente Convention syndicale. La Convention nationale contre l’élection imposée se réunira dimanche 2 et lundi 3 décembre afin de définir un nouveau plan de lutte qui tienne compte des nouvelles circonstances.

Le « recours en protection » (amparo) obtenu récemment par le Syndicat mexicain des électriciens (SME) (6) démontre la validité de la lutte et de la mobilisation pour la défense des intérêts des travailleurs, à contre courant de ceux qui la considèrent comme « archaïque » et qui ont recours aux manœuvres et aux négociations sans lutte ni rapport de force.

Sur le plan politique, il devient possible d’offrir une alternative aux vacillations et à la collaboration de la gauche institutionnelle. C’est le moment de donner une nouvelle impulsion à la création de l’Organisation politique du peuple et des travailleurs (OPT) proposée par le SME il y plus d’une année et de la convertir en un parti large des travailleurs et de leurs organisations. Cette option politique viendrait combler un vide sur la scène politique. Le débat et l’approbation de la réforme de la loi sur le travail a clairement démontré qu’aucun des partis institutionnels ne représente les intérêts des travailleurs.

Un chapitre se clôt, mais la lutte se poursuit avec de nouvelles tâches.

C’est à cela qu'invite le Parti Révolutionnaire des Travailleurs (PRT). Il est temps de nous regrouper et de construire une autre gauche, une gauche classiste, de lutte et combative, qui soit aux côtés des travailleurs et qui ait le socialisme pour horizon.

Parti révolutionnaire des travailleurs (PRT, section mexicaine de la IVe Internationale)

Mexico, D.F. 1er décembre 2012

Notes



1. Coalition électorale qui a soutenu à la présidentielle la campagne de Andres Manuel Lopez Obrador (AMLO), ancien maire de Mexico.

2. Parti de la révolution démocratique (PRD). Parti de gauche fondé en 1989 par Cuauhtemoc Cardenas.

3. Parti révolutionnaire institutionnel (PRI). Parti du nouveau président Enrique Peña Nieto . Parti qui a dominé le Mexique durant 71 ans avec un régime autoritaire et clientéliste de quasi parti unique. A instauré un État politico-militaire muselant les droits des citoyens mais conserve une large base populaire.

4. Parti d'action nationale (PAN). Parti de droite qui a été au pouvoir pendant 12 ans avec Felipe Calderon.

5. Mouvement pour la regénération nationale (Morena). Mouvement civique qui a soutenu à la présidentielle la campagne d'AMLO.

6. Le Syndicat mexicain des électriciens (SME) regroupe environ 16.000 des 40.000 travailleurs qui ont été licenciés en octobre 2009. Le SME a lancé un appel pour la constitution d'une Organisation politique du peuple et des travailleurs (OPT).

Voir cet article sur Inprecor, la revue d'information et d'analyse publiée sous la responsabilité du Bureau exécutif de la IVe Internationale.

Fuente: La Gauche

1DMX San Lázaro y 1dmx Centro Historico









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jueves, 29 de noviembre de 2012

¿Quién responderá por los agravios panistas contra el SME?

Manuel Fuentes Muñiz
28/Nov/2012

Fueron descomunales y sin límite los recursos humanos, económicos y materiales que usó el gobierno de Felipe Calderón para imponer por la fuerza el cierre de Luz y Fuerza del Centro y justificar el despido de más de 46 mil trabajadores la noche del 10 de octubre de 2009.

Aparecieron desde el momento de la toma y en los días siguientes, anuncios pagados en radio, televisión y prensa escrita para justificar la arbitraria acción gubernamental; su argumento fue la denostación y el engaño en contra de los trabajadores.

El gobierno calderonista movilizó miles de policías y militares encubiertos, para tomar por la fuerza los centros de trabajo. A los trabajadores que laboraban esa noche los desalojó por la fuerza y los que ingresarían en las siguientes horas, para impedir su ingreso, cercó con vallas metálicas las instalaciones.



Se quiso demostrar la fuerza desproporcionada del gobierno a pesar que no atinaba a justificar “la extinción” en el centro del país de una función estratégica como es la energía eléctrica.

Se acusó sin base alguna a los dirigentes del Sindicato Mexicano de Electricistas (SME) de corruptos y al mismo tiempo patrocinó sin éxito alguno a un grupo disidente para fomentar la división y confusión entre los trabajadores.

Aparecían en todos los medios de comunicación declaraciones de Felipe Calderón como salvador de la patria y Javier Lozano como su espantajo, justificando el cierre de esa empresa pública.

Empresas transnacionales ligadas a la generación eléctrica y sectores financieros aplaudían la medida “valiente” del gobierno de cerrar una empresa pública de generación eléctrica.

Como si fueran dueños del erario público los funcionarios panistas ofrecieron, según ellos, liquidaciones “superiores a la ley”. En los medios de comunicación invitaban a los trabajadores a aceptar sus indemnizaciones con la promesa de ser recontratados.

Difundieron en su momento fotografías de largas filas de trabajadores electricistas cabizbajos, confundidos al recibir su cheque. Sin embargo mientras pasaron los días, las filas de liquidados se fue reduciendo, mientras que la resistencia de más de 16 mil trabajadores se mantenía a pesar de la propaganda mediática en su contra a todas horas.

Los trabajadores liquidados pronto se dieron cuenta del engaño. Ni se les habían pagado su indemnización completa ni se les había cumplido con otorgarles un nuevo empleo.

Mientras tanto la Junta Federal de Conciliación y Arbitraje (JFCA) comenzó a recibir miles de demandas de trabajadores reclamando su reinstalación y de otros exigiendo la diferencia en el pago de sus liquidaciones; el buen ánimo gubernamental poco a poco empezó a desdibujarse.

Desde la Secretaría del Trabajo abogados de distintos despachos patronales recibieron la llamada de Javier Lozano para que auxiliaran al gobierno en los litigios que fueron creciendo día a día. Como apoyo la JFCA empezó a congelar los juicios para prolongarlos lo más posible.

Los primeros reportes que llegaron a la oficina del Secretario de Trabajo era que en efecto, las liquidaciones pagadas no contenían todas las prestaciones y tarde o temprano se tendrían que pagar millonarias cantidades como pago de diferencias en indemnizaciones. Ahora es problema del nuevo gobierno que viene afrontar el problema.

Ahora se sabe por una investigación de la periodista Mariana Otero que el gobierno erogó más mil 800 millones de pesos en la contratación de 88 prestadores de servicios externos para la liquidación de Luz y Fuerza del Centro (LFC), los cuales se encargaron de realizar peritajes, mantenimiento de inmuebles, atención de asuntos jurídicos y hasta un Call Center de orientación.

Según la solicitud número 681200000411 presentada al IFAI por la periodista Otero, el total de gastos que se habían realizado hasta 2011 para llevar a cabo la extinción de la paraestatal ascendía a 52 mil millones de pesos, de los que mil 810 fueron para la contratación de empresas externas, 32 millones para el pago de notarios y 79 millones 813 mil pesos para cubrir los servicios de 19 despachos de abogados.

A pesar de las desmedidas sumas entregadas a los litigantes, el gobierno federal siguió dando tumbos al perder un amparo en el tribunal colegiado de circuito que otorgó el reconocimiento a favor de los miles de despedidos como patrón sustituto por la Comisión Federal de Electricidad, que ahora se encuentra en revisión en la Suprema Corte de Justicia de la Nación.

Los panistas viven sus últimas horas en la presidencia de la republica después de haber demostrado su incapacidad para gobernar; ahora aparecen, poco a poco las ilegalidades cometidas en un ejercicio de poder arbitrario. ¿Quién responderá por esas arbitrariedades y despilfarros cometidos en perjuicio de la Nación?

Correo: mfuentesmz@yahoo.com.mx

Twitter: @Manuel_FuentesM

Fuente: La Silla rota

miércoles, 28 de noviembre de 2012

Elías Ayub, broche de hojalata de Calderón

25 de noviembre, 2012
Martin Esparza
Opinión

Felipe Calderón concluye su gobierno obstinado en cerrar, no con broches de oro sino de hojalata, obras como la hidroeléctrica La Yesca, a la que sin recato ni consulta alguna al país le impuso el nombre del exdirector de la Comisión Federal de Electricidad (CFE), Alfredo Elías Ayub –por muchos años cabeza visible del cártel de la Electricidad– que por 12 años devastó a la paraestatal hasta alejarla del pregonado nivel de “clase mundial”, pero cerca de los linderos de su quiebra técnica, en brazos de la corrupción y las trasnacionales.

Aquí, en nuestro habitual espacio en Contralínea, publicamos una serie de artículos en los que dimos razón de las incontables tropelías cometidas por el exfuncionario que se ancló a la Dirección General de la Comisión en el último tramo del sexenio de Ernesto Zedillo, ratificado en el cargo por los gobiernos de Vicente Fox y Felipe Calderón no por ser proclive a los deberes públicos, sino a la zalamería y la incondicionalidad. Malas artes de la política donde suelen incubarse fácilmente la corrupción y la entrega de los recursos del país a los intereses extranjeros, papel que Elías Ayub desempeñó al pie de la letra y de acuerdo con los principios antinacionalistas de ambos mandatarios.



Sin caer en el terreno de las exageraciones, podemos afirmar que el exfuncionario, inexplicablemente “homenajeado”, es responsable directo no sólo de millonarios quebrantos a la CFE, sino de la más atroz de las entregas de la industria eléctrica nacional a los monopolios internacionales. Podría decirse que es, en nuestros días, una de las más perfeccionadas reencarnaciones de Antonio López de Santa Anna, el hombre que cedió la mitad de nuestro territorio nacional a Estados Unidos.

Su ascenso al nivel de casi prócer nacional por parte de Felipe Calderón no debe de aceptarse, pues hacerlo constituye una burla y un agravio público a los millones de usuarios en el país que han sido esquilmados por las altas tarifas eléctricas de la Comisión Federal de Electricidad, y que como otros tantos millones de mexicanos han tenido que pagar de sus bolsillos, vía impuestos, obras y proyectos donde los beneficiarios directos son poderosas empresas trasnacionales, a las que Elías Ayub terminó por entregar más de la mitad de la generación de la energía eléctrica en nuestro territorio, y con ello, una de las áreas estratégicas para el desarrollo económico del país.

Calderón baja la cortina de su pésima administración honrando con inmerecidos reconocimientos públicos a sus amigos, cómplices e incondicionales que se encuentran atorados en la fangosa esfera de la corrupción. Imposible por ello que explique a los mexicanos la razón que lo orilló a bautizar a La Yesca con el nombre de un capo embozado como servidor público. Los casos de corrupción en la CFE ofrecen un variado y surtido catálogo de fechorías, que tuvieron como uno de sus más notorios promotores al hoy procesado Néstor Moreno Díaz, exdirector operativo de la paraestatal cuya influencia e impunidad se debieron a la abierta protección otorgada por el aspirante a prohombre nacional, Alfredo Elías Ayub.

Pero además figuran en la lista de protegidos otros consentidos del exdirector, como es el caso de Arturo Hernández Álvarez, quien ocupó con antelación el cargo de Moreno Díaz (hasta abril de 2007) y cuyo nombre apareció también en las cortes estadunidenses, ligado de forma indivisible al de Néstor Moreno en la extensa red de corrupción de la paraestatal; asimismo, fue el enlace de los negocios turbios de la dependencia con el SUTERM (Sindicato Único de Trabajadores Electricistas de la República Mexicana). Hernández se ha ocultado en su condición de jubilado para tratar de evadir la acción de la justicia, pero es uno de los más connotados pájaros de cuenta del cártel de la Electricidad.

En consecuencia, muchas dudas asaltan el razonamiento de millones de mexicanos, entre ellas: ¿cómo puede concebirse que en la mente del aún presidente se alimente la idea de elevar a la categoría de insigne mexicano a quien permitió que, en sus narices, Moreno Díaz recibiera yates y ferraris? ¿Acaso Calderón ni siquiera tiene conocimiento de los expedientes integrados tanto en la Auditoría Superior de la Federación como en la Secretaría de la Función Pública, donde quedan pendientes por aclarar cuantiosos desfalcos a la paraestatal, vía obras sin licitación y materia de trabajo entregada en bandeja de plata a contratistas?

Lo hemos denunciado en nuestras entregas y lo ratificamos ahora: debido a la política antinacionalista de los gobiernos panistas a los que sirvió de manera irrestricta Elías Ayub, se ha terminado por hipotecar al sector eléctrico al menos en las próximas tres décadas. De 2000 a 2011, el patriota exdirector de la CFE dio su autorización para que la Comisión Reguladora de Energía otorgara 772 permisos a productores independientes y a productores externos, figurando en la lista de afortunadas empresas extranjeras Iberdrola, EDF Internacional, Unión Fenosa, Mitsubishi, Intergen, Transalta, AES y otras más, con las que Elías Ayub pactó contratos para la compra obligada de la energía que ya generan con nuestros propios recursos, tanto naturales como públicos, hasta por 25 años.

Esta política entreguista le había costado, hasta diciembre de 2009, más de 268 mil millones de pesos a las finanzas públicas, monto que llegará a 1.6 billones de pesos en 2041, año establecido como fecha de vencimiento en algunos de los convenios leoninos otorgados a las firmas extranjeras por el exfuncionario, y cuya conducción de la CFE no sólo terminó de hinojos ante las trasnacionales, sino que redujo su capacidad de generación, convertida paulatinamente en revendedora de la energía de las firmas extranjeras.

Calderón presume al país La Yesca, pero la ostentosa obra no altera en lo absoluto el proyecto para desnacionalizar la industria eléctrica nacional, que ya se ha puesto en marcha, debilitando la infraestructura que a los mexicanos costó décadas de trabajo erigir. Retomemos los siguientes datos para refrescarle la memoria al entreguista presidente y a su cómplice: mientras en 2000, la Comisión Federal de Electricidad y Luz y Fuerza del Centro generaban a nivel nacional 191 mil 400 gigavatios/hora (GWh), y los permisionarios privados apenas llegaban a los 12 mil 200 GWh, para 2009 los particulares habían logrado producir 105 mil 900 GWh, mientras que el sector público cayó a los 157 mil 900 GWh.

Razón por la cual también se ha demostrado que uno de los motivos oficiales para desaparecer a Luz y Fuerza del Centro era precisamente dejarles el campo libre de la zona centro del país a las trasnacionales, en su papel de abastecedoras de la CFE. Energía más cara que han terminado por pagar los millones de consumidores a través de los elevados costos en los recibos de luz.

Al cierre del segundo trimestre de este año, los pasivos de la CFE llegaron a los 849 mil 467 millones de pesos, mostrando un crecimiento de 92 mil 699 millones respecto del mismo periodo de 2011, cuando la cifra alcanzó los 756 mil 768 millones de pesos. Lastimosa quiebra que nos autoriza a sancionar a quien desde la Presidencia enaltece a los modernos traidores de la patria y cuyo reconocimiento equivale a despojar a Juárez de su hemiciclo para reemplazarlo por Santa Anna. Alfredo Elías Ayub es ejemplo de tal infamia histórica, guardadas las proporciones, claro está.

*Secretario general del Sindicato Mexicano de Electricistas

Fuente: Contralinea

Acopio de juguetes y puesta en escena del SME

Aldo Conde A.
http://smirmidones.blogspot.mx
Miércoles 28 de noviembre de 2012

A partir del lunes 3 de diciembre iniciará el acopio de juguetes para poder apoyar a los hijos de electricistas del Sindicato Mexicano de Electricistas (SME), como en ocasiones anteriores, se pondrá una urna en insurgentes 98 y de esa manera hacer la colecta solidaria con los SMEitas electricistas anunció el C. Antonio Rodríguez Solórzano Pro-Srio. de Cultura y Recreación del SME en la reunión semanal de jubilados del 28 de noviembre del año en curso.

Tal colecta en años anteriores fue bautizada como el "juguetón" por el C. Martín Esparza Flores, Secretario General del SME, y uno de los objetivos era contrarrestar el Teletón que utiliza la empresa Televisa para poder así evadir impuestos. Antonio Rodríguez también recomendó que quien tuviera comunicación con otras organizaciones o diputados les solicitaran solidarizarse.

Rodríguez Solórzano comunicó que el siguiente domingo 2 de diciembre se realizará una puesta en escena con el título: "cuentos de terror" protagonizada por el grupo teatral del sindicato y la entrada será gratuita, debido a que no se realizarían actividades políticas ese día.

Instó a la asistencia de familiares para así hacer que se reúnan las familias electricistas.

UACEMITAS, LA LUCHA SIGUE, LA DEFENSA POR LA LEGALIDAD Y EL PROYECTO EDUCATIVO DE LA UACM SIGUE

Ciudad de México, 28 de noviembre de 2012

Festejamos en la asamblea general de ayer, con una rebanada de pastel, la firma del documento de acuerdos que hará posible que regresemos a nuestra vida académica que tanto extrañamos.

Recuerden que la instalación legal del Tercer Consejo Universitario no es el fin de la lucha estudiantil, es sólo el resultado del paro iniciado por nosotros los estudiantes universitarios que no estamos permitiendo que el autoritarismo y la corrupción sigan gobernando nuestra UACM, que no estamos permitiendo que se siga violando el modelo educativo de nuestra casa de estudios, porque éste posibilita que la comunidad universitaria obtenga triunfos jamás imaginados, triunfos que paren enlistarse interminablemente.

La defensa por la legalidad y el proyecto educativo sigue: Los estudiantes quedamos con minoría en el Tercer Consejo Universitario; ahora todos tenemos que tener los ojos y el intelecto bien puesto en ese Tercer CU que se instalará este jueves, 29 de noviembre. Tenemos que exigirle a este CU que gobierne a la altura de la lucha en defensa de la legalidad y del proyecto educativo que ha sostenido la comunidad universitaria.



AHORA TENEMOS QUE EXIGIRLE AL TECER CONSEJO UNIVERSITARIO QUE VELE POR EL MODELO EDUCATIVO DE LA UACM, COMO LO HEMOS HECHO LOS ESTUDIANTES UNIVERSITARIOS DEL CONSEJO ESTUDIANTIL DE LUCHA

El pliego petitorio de los estudiantes se entregará al Tercer Consejo Universitario, y éste tiene que dar respuesta; estemos atentos a ese segundo paso en la defensa del proyecto educativo de la UACM.

Esperamos seguir contando con el apoyo de los que durante tres meses confiaron en nosotros, pero también esperamos que más personas de la comunidad universitaria se sumen a esta defensa de la UACM, la casa de estudios que le brinda educación superior a tod@s los que la deseen, la universidad que, como único requisito para dar conocimiento, pide certificado de educación media superior y ganas de aprender.

¡TODOS A APOYAR LA INSTALACIÓN DEL TERCER CONSEJO UNIVERSITARIO ESTE JUEVES, 29 DE NOVIEMBRE, EN EL MUSEO DE LA CIUDAD DE MÉXICO (Pino Suárez 30; Centro Histórico, Delegación Cuauhtémoc), A LAS 10:00 HORAS!

Aprovechamos para agradecerles a todos los que nos apoyaron durante el paro estudiantil (que fueron muchos), a nuestros padres, a las universidades que brindaron su solidaridad, a las organizaciones sociales, a nuestros amigos, a nuestros familiares, a los profesores de la UACM, a los Trabajadores En Lucha, a los egresados de la UACM que no son egoístas, que luchan por una educación para tod@s, que no se olvidan de su alma máter...

¡Autonomía, educación y libertad!,
¡autonomía, educación y libertad!,
¡arriba, arriba, la Autónoma de la Ciudad!

Nada humano me es ajeno

Consejo Estudiantil de Lucha UACM

Fuente: CEL

Se extiende periodo para entrega de cartas a la SCJN

Aldo Conde A.
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Miércoles 28 de noviembre de 2012

Ante la reunión de jubilados del Sindicato Mexicano de Electricistas (SME), del 28 de noviembre del años en curso, el C. Carlos Magariño Luevano, representante propietario principal del grupo de jubilados adelantó que el periodo para la entrega de (formatos con 10) firmas dirigidas a la Suprema Corte de Justicia de la Nación (SCJN), se extenderá durante todo el mes de diciembre. Esto debido a que se han recabado 31 mil firmas, pero los integrantes del SME han sabido hacer mejor las cosas, por ello; el periodo se amplía.
Las cartas tienen como principal objetivo que sea rechazado el recurso de revisión que promovió el Sistema de Administración y Enajenación de Bienes (SAE), debido al logro sin precedentes que otorga el segundo tribunal colegiado de circuito en materia de trabajo desde poco más de dos meses al SME y que la Junta Federal de Conciliación y Arbitraje (JFCA) no ha admitido el laudo que obliga el ingreso de los electricistas del SME a la Comisión Federal de Electricidad (CFE). Todo esto, en el marco del acomodo de nuevos magistrados a la Suprema Corte.
También hizo una observación en torno a la acción dilatoria por parte de la Suprema Corte de Justicia; pues "no quieren dañar la figura presidencial".
El argumento queda soportado dado que si bien el presidente (impuesto) saliente, presumió durante más de tres años que uno de los mayores triunfos de su nefasta administración, fue la extinción (ilegal) de Luz y Fuerza del Centro (LyFC), para él (felipe calderón) no sería viable aceptar su derrota durante su periodo próximo a su culminación.

martes, 27 de noviembre de 2012

Participación Social En La Construcción De Alternativas Política, Morena; un desafio

#ElSMEsequedacalderónseva

Se convoca a la comunidad twitera SMEita y solidarios a participar en esta ciber-protesta.
Calderón ya se va y a su cuenta (@FelipeCalderon) dirigiremos este HT #ElSMEsequedacalderónseva de manera intermitente.
Pueden si gustan; incluir la cuenta de lozano alarcón (@JLozanoA). Es recomendable acompañar con el HT #SME.
"""Se permite el texto que sea""".
Ya saben donde se encuentra el tutorial para crear la cuenta de twitter y la lista de las cuentas de quienes han participado anteriormente.
Un abrazo a todos, y disfruténlo.





lunes, 26 de noviembre de 2012

sábado, 24 de noviembre de 2012

Marchan SMEitas guadalupanos

Aldo Conde A.
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Sábado 24 de noviembre de 2012

Integrantes del Sindicato Mexicano de Electricistas realizaron una peregrinación que partió alrededor de las 15:30 desde la glorieta de vaqueritos con rumbo a la Basílica de Guadalupe ubicada en la Villa de la ciudad de México Distrito Federal, la movilización transcurrió en calma y sin contratiempos. La movilización se llevó a cabo por el camellón de la avenida misterios hasta la casa guadalupana.

Durante el camino elementos de tránsito se encargaron de hacer los cortes a la circulación para no interferir con el paso de automovilistas.

En el recorrido entonaron cánticos religiosos dirigidos a la Vírgen de Guadalupe. La manifestación católica resaltó por tener una asistencia mayor a las anteriores. Entre los asistentes participaron Pablo Rodríguez, Secretario de Economía y Estadística y Miguel Márquez Ríos ex-preso político del SME, acompañados por un gran número de trabajadores en activo, jubilados y familiares.

Ya en la catedral SMEitas participaron en la ceremonia con lecturas. El sacerdote hizo referencia a la presencia de los trabajadores de Luz y Fuerza del Centro integrantes del Sindicato Mexicano de Electricistas en su asistencia número 65, posteriormente; el compañero Márquez Ríos pidió por la salud y trabajo de la familia electricista (del SME) ante los presentes.

jueves, 22 de noviembre de 2012

Jubilados del SME deben preparar documentos para cobro de anticipo de seguro sindical

Aldo Conde A.
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Jueves 22 de noviembre de 2012

El Pro-Srio. de jubilados del Sindicato Mexicano de Electricistas, José Antonio Almazán solicitó en la reunión de jubilados del SME realizada el 21 de noviembre pasado en reunión informativa que los compañeros nacidos en el año 1948 deben prepararan su documentación necesaria para hacer la solicitud del cobro del 25 por ciento del anticipo de seguro sindical.

El derecho plasmado en la cláusula 112 del Contrato Colectivo de Trabajo, ampara tal trámite, por ello instó a que de manera anticipada se preparen los siguientes documentos:

* Credencial de agremiado al SME (actualizada)
* Acta de nacimiento para acreditar fecha de nacimiento (copia y original)
* Copia de la credencial de Jubilado de Luz y Fuerza del Centro (LyFC)

A partir del día tercero del mes de diciembre del año en curso se harán los listados necesarios para la aplicación de dicha cláusula.
Aseveró Almazán González que se hacía de manera anticipada para no facilitar que el gobierno retrase el pago como hace dos años. Luego hizo el llamado a informar a los no presentes sobre este proceso.

martes, 20 de noviembre de 2012

Protestan por detenido en Plaza de Toros

Aldo Conde A.
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@smirmidones
Martes 20 de noviembre de 2012

Alrededor de las 18:30 horas, se realizó un bloqueo pacífico sobre la avenida insurgentes a la altura de la calle Gómez Farías, irrumpieron integrantes de #yosoy132 agrupados en la Acampada Revolución, el Frente Oriente y Tlacaelel entre otras.

Se inconformaron por la detención del activista Alejandro apodado “el Yampa” en la manifestación llevada a cabo el pasado 18 de noviembre en las inmediaciones de la Plaza de Toros de la ciudad de México, pues se habían expresado cerca de tres mil personas en contra de la tauromaquia. Según los manifestantes fueron reprimidos en esa ocasión y su compañero Alejandro se encuentra en el Reclusorio Varonil Oriente.

También recriminaron al Jefe de Gobierno del D.F., Marcelo Ebrard por el encarcelamiento del Yampa. “Toros sí, toreros no” gritaban mientras mostraban sus pancartas y banderas. Permanecieron en el lugar hasta las 19:30 para después dirigirse en marcha hacia el monumento a la revolución donde se encuentran acampando.



A pesar de que afectaron el tránsito y el sistema de transporte metrobus, gente se mostró de acuerdo haciendo sonar el claxon y gritos de apoyo. Muy pocos se mostraron inconformes.

Se ignora el proceso penal del acusado Alejandro, pues se le acusa también de haber participado en otras acciones de protesta.

Convocatoria a twitteo masivo

Martín Esparza en mítin por la conmemoración de la Revolución Mexicana 20 nov 12

viernes, 16 de noviembre de 2012

miércoles, 14 de noviembre de 2012

Aclaración sobre el presupuesto para el SME

La ley y presupuesto de egresos 2013 para el SME

Las tardes de Julia (cortometraje de Julia Klug)

SME cuestiona al SAE sobre derechos contractuales 14 nov 12

Los presos del SME, Calderón y Díaz Ordaz



Fuente: J. Antonio Almazán Pro-Srio. de jubilados del SME

SME y CFE: Corto circuito

Al desaparecer Luz y Fuerza el gobierno prometió eficiencia. Pero los 33 mil millones de pesos de ahorros prometidos ya se los devoró la CFE en subsidios. Y todavía deben 12 mil millones en liquidaciones. Conoce la historia.

Enrique Peña Nieto recibirá un electroshock al llegar a la Presidencia de la República.

La herencia que le deja la administración de Felipe Calderón en el sector eléctrico es una deuda millonaria, conflicto laboral, y la pesada carga económica de la Comisión Federal de Electricidad.

La extinción de Luz y Fuerza del Centro que, se argumentó, traería ahorros al gobierno federal, en realidad representa ahora más gasto.

El fallo del Segundo Tribunal Colegiado en Materia del Trabajo del Primer Circuito, otorgado en septiembre pasado, abre la posibilidad de que CFE funja como patrón sustituto de los trabajadores del Sindicato Mexicano de Electricistas (SME) que no fueron liquidados.



Los empleados que no quisieron recibir su liquidación podrán exigir salarios caídos y prestaciones a lo largo de los últimos tres años, tiempo en que mantuvieron el litigio por la desaparición de Luz y Fuerza del Centro (LFC).

La suma de más de 15 mil trabajadores que se mantuvieron con el cuestionado líder de ese gremio, Martín Esparza, podría generar un pago superior a los 11 mil millones de pesos que podría llegar a 32 mil.

Esa cantidad se pagaría por la administración del priista Enrique Peña Nieto, pues a la actual le quedan menos de tres semanas. La toma de protesta del nuevo presidente de la República es el próximo primero de diciembre.

Al hacerse público el fallo a favor del SME, el secretario de Gobernación, Alejandro Poiré, dijo que solicitarían una revisión del mismo a la Suprema Corte de Justicia de la Nación.

El funcionario insistió en que todo lo que hizo la administración panista fue apegado a la Constitución.

Lo que no dijo es que de cualquier forma ya no será un problema del gobierno panista. Pase lo que pase será responsabilidad de la nueva administración del PRI.

En opinión del abogado laboralista Carlos de Buen, el monto a pagar podría aumentar mediante una estrategia legal, que de hecho ya se está preparando.

Esta consiste en que los trabajadores que fueron liquidados evoquen la irrenunciabilidad de sus derechos laborales y argumenten coacción en su liquidación. De ser así el monto a pagar para el próximo gobierno superaría los 32 mil millones de pesos.

La suma es el equivalente a lo que costaba anualmente la empresa o lo que recibió en el presupuesto de este año la Secretaría de Seguridad Pública o el Consejo de la Judicatura Federal.

Los trabajadores se defienden

El 10 de octubre del 2009 el presidente anunció en cadena nacional el decreto para la extinción de LFC.

Javier Lozano, hoy senador panista, con fuero, era entonces secretario del Trabajo.

El argumento fue que económicamente era inviable seguir con esa empresa. El sindicato era, dicho por el propio presidente, uno de los principales responsables de la crisis financiera y de la baja producción.

Con el uso de la fuerza pública las autoridades se apoderaron de las instalaciones de la empresa y del sindicato.

De tajo, casi 44 mil trabajadores perdían su trabajo. Le medida se venía preparando desde la administración de Vicente Fox, pero se hizo realidad con Calderón. De inmediato vinieron los reproches y las movilizaciones en el Distrito Federal por parte de los trabajadores.

Bloqueos de avenidas, protestas en la Cámara de Diputados. Huelgas de hambre.

El SME es considerado uno de los sindicatos mexicanos más antiguos. Fue fundado el 14 de diciembre de 1914 en medio de la Revolución. Casi 50 años antes de que se nacionalizara la industria eléctrica.

Polémico como cualquier sindicato. Para algunos era muestra de la histórica lucha sindical y para otros un organismo anquilosado en la corrupción y solapamiento de las malas prácticas laborales.

El Servicio de Administración y Enajenación de Bienes (SAE) fue el encargado de presentar la demanda ante la Junta Federal de Conciliación y Arbitraje a fin de que avalaran la extinción de la compañía. Fue oficial el 13 de octubre del 2009.

Carlos de Buen, abogado que ha llevado la defensa legal desde hace tres años, está convencido que la forma en que se quiso desaparecer la empresa no fue apegada a derecho.

Usó su larga experiencia para demostrarlo y ante la solicitud hecha por el SAE a la Junta de Conciliación y Arbitraje, buscó un amparo. Ganó el amparo directo 1337/2010. La decisión la dio un Tribunal Colegiado el pasado 13 de septiembre.

No es el capricho de un juez o las argucias legales de un abogado. Es la decisión en conjunto de un grupo de autoridades en la materia.

“La justicia de la Nación ampara y protege al Sindicato Mexicano de Electricistas, en contra del acto y autoridad que quedaron precisados al inicio de esta resolución”, dice el resolutivo segundo del documento de 444 fojas y firmado por los magistrados María Edith Cervantes Ortiz, Jorge Farrera Villalobos y Elisa Jiménez Aguilar.

El abogado sabe que por esto tienen la razón. Que la actual administración heredó el problema al presidente entrante, pues hizo de manera indebida y fuera de la ley todo el proceso de despido y desaparición de la empresa.

“Es un conflicto que causó esta administración. Le están heredando un conflicto laboral, social y político con este problema. Fue un acto sin un procedimiento previo”, refiere.

Advierte que el adeudo crecerá mientras no haya una resolución porque se acumularán salarios caídos y las jubilaciones de los que obtienen el derecho a pensionarse.

De manera paralela al amparo que ya ganaron, sostiene desde hace tres años una demanda para exigir la reinstalación y pago de salarios caídos de todos los trabajadores. Y tendría que ser CFE quien asuma esta medida.

Al desaparecer Luz y Fuerza el gobierno prometió eficiencia. Pero los 33 mil millones de pesos de ahorros prometidos ya se los devoró la CFE en subsidios. Y todavía deben 12 mil millones en liquidaciones. Conoce la historia.

“En ese juicio nosotros demandamos la reinstalación y el pago de salario caídos; si no, la nulidad de todas las liquidaciones, argumentando que se hicieron bajo engaño porque entre otros salió el secretario del Trabajo, que ya no tenían nada qué hacer porque era un hecho consumado. Eso es nulo porque es bajo engaño.

“No hay que descartar que obtengamos una resolución favorable, que diga que los 28 mil trabajadores que se liquidaron, se liquidaron bajo engaño y por lo tanto esa terminación de la relación laboral no produjo efectos.

“Si esto vale casi 12 mil millones de pesos, lo otro vale otros 18 mil millones de pesos más lo que ya pagaron en liquidaciones. Es una barbaridad lo que le están heredando a Enrique Peña Nieto”, asegura en entrevista.

Sobre la petición de revisión del fallo que el Gobierno Federal hizo ante la Suprema Corte de Justicia el litigante dice que era improcedente pero fue aceptada y por eso pusieron un recurso de reclamación. Además de que confía en que los ministros van a avalar lo que ya resolvió el Tribunal Colegiado.

La farsa del ahorro

Esas fueron las palabras del presidente Calderón el día que anunció que desaparecía Luz y Fuerza del Centro:

“En poco tiempo, Luz y Fuerza del Centro no hubiera podido pagar ni siquiera sus propias jubilaciones. Además, debido al Contrato Colectivo de Trabajo, casi todas las decisiones tenían que tomarse pidiendo permiso a la representación sindical, lo cual hacía que esas decisiones, más que obedecer a tus necesidades, o a las necesidades y problemas de los ciudadanos, obedecieran en muchas ocasiones a las preocupaciones e intereses del sindicato.

“Por ejemplo, el número de trabajadores seguía creciendo desproporcionadamente, no porque lo necesitara el servicio eléctrico, sino porque así lo exigía el Contrato Colectivo de Trabajo. Y estas condiciones no sólo hicieron inviable financieramente al organismo, también afectaron muy gravemente la calidad y la cobertura del servicio de electricidad que se debía prestar.

“Luz y Fuerza del Centro, por ejemplo, perdía por robos, por fallas técnicas, por corrupción o por ineficiencia, la tercera parte de la electricidad que distribuía”.

Calderón vestía un traje negro con una corbata azul marino con rayas beige. Portaba una pequeña bandera en la solapa y al fondo una más engalanaba el cuadro.

Sin embargo, el ahorro que suponía esta medida, no se materializó en los hechos.

En un análisis del Presupuesto de Egresos de la Federación, obtenidos en la página oficial de la Secretaría de Hacienda, se puede ver cómo los 33 mil millones de pesos promedio que recibió en el último año LFC, desde el 2011 le llegan a la Comisión Federal de Electricidad.

En el 2009, cuando fue la extinción, la CFE tenía etiquetados en el presupuesto un total de 199 mil 40 millones, en promedio. En el 2010 subió a 210 mil 459 millones y para 2011 un presupuesto de 238 mil 543 millones. El excedente es una cantidad equiparable a lo que costaba la empresa que consideraron inviable.

En este 2012 Comisión Federal de Electricidad recibió 253 mil 320 millones de pesos. En realidad no hubo un ahorro en el sector eléctrico, sino un incremento del 13 por ciento en relación a lo que costaba con la existencia de la cuestionada empresa.

A esto hay que agregar que de acuerdo a la propia CFE a diciembre del 2012 tendrá una deuda de 7 mil 203 millones 512 mil pesos. Esa es la proyección que tiene la Gerencia de Créditos que pertenece a la Subdirección de Operaciones Financieras.

El objetivo de acuerdo al documento es reducir durante el sexenio de Peña Nieto casi 5 mil millones de pesos esta deuda para dejarla al año 2018 en 2 mil 804 millones 648 mil pesos.

Javier Lozano publicó en el periódico El Universal el 26 de julio del 2010 –siendo todavía Secretario del Trabajo– un editorial defendiendo la desaparición de Luz y Fuerza del Centro.

En el artículo aseguró que ningún bien de la empresa en litigio había pasado a ser posesión de CFE.

“La empresa desapareció, las relaciones laborales terminaron, los trabajadores cesaron sus actividades y los activos de la extinta Luz y Fuerza del Centro no pasaron al patrimonio de la CFE”, aseguró.

Sin embargo sí le enajenaron los bienes a CFE. Plantas de emergencia, subestaciones, centros de control de energía, líneas y redes de distribución pasaron a ser propiedad de la paraestatal.

El oficio 300.249/2009 de la Subsecretaría de Energía, firmado casi un año antes de esa publicación por el subsecretario de Electricidad, Benjamín Contreras Astiazarán, da cuenta de las transferencias de bienes. Tiene sello de recibido de Comisión Federal de Electricidad.

“Se solicita que se pongan inmediatamente a disposición de la Comisión Federal de Electricidad los siguientes bienes del organismo que se extingue, así como los derechos accesorios y asociados a dichos bienes”, establece el documento con carácter de reservado y del que Reporte Indigo tiene copia.

Y también pasó con todos los vehículos, herramienta y equipo de trabajo por un monto total de 24 millones de pesos.

Además pasaron a la otra empresa encargada del suministro de energía eléctrica en México: 105 agencias y sucursales, 69 almacenes o bodegas, 71 talleres, 34 centrales generadoras, nueve centros de capacitación, 26 oficinas administrativas, 184 subestaciones y 12 terrenos baldíos.

En el documento UE/108/12 del SAE, con fecha de marzo de este año da cuenta de que fueron entregadas además 8 mil 72 unidades de trabajo.

Al desaparecer Luz y Fuerza el gobierno prometió eficiencia. Pero los 33 mil millones de pesos de ahorros prometidos ya se los devoró la CFE en subsidios. Y todavía deben 12 mil millones en liquidaciones. Conoce la historia.

De acuerdo al propio Servicio de Administración y Enajenación de Bienes de la Secretaría de Hacienda en el oficio UE/490/2011 se informó que a septiembre del año pasado el pago de la extinción era de 52 mil millones de pesos. Casi el costo de dos años del presupuesto federal que recibía la empresa financieramente insalvable.

“Por lo que hace a cuántos recursos económicos se erogaron para este hecho, se informa que a la fecha se han erogado para el proceso de extinción del organismo descentralizado Luz y Fuerza del Centro, alrededor de 52 mil millones de pesos, cifras preliminares previa conciliación”, dice el documento acreditado a Yolanda Corral González, titular de la Unidad de Enlace del SAE.

Gasto en abogados

Entre los gastos más llamativos está el costo legal para defender los actos realizados por la administración de Calderón. Si se hizo conforme a derecho, como argumentan, desde el 2009, cuál es la razón por la que se han pagado 79 millones de pesos en defensoría jurídica. De ese monto, 66 millones a un solo despacho.

La Unidad de Enlace del SAE informó en el oficio UE/040/12 sobre estos pagos. Ahí aparece la lista de 19 abogados o despachos que trabajaron en el caso. Destaca el despacho Cavazos Flores SC, por el millonario pago de los 66 millones de pesos.

“El despacho fue fundado en 1974 por el doctor Baltasar Cavazos Flores, quien fuera la autoridad en derecho laboral más reconocida en México. El prestigio cultivado por Cavazos Flores le ha permitido crear corresponsalías en diferentes estados de la República Mexicana, Centroamérica, Sudamérica y Europa”, presume esta firma de litigantes en su página de internet.

De acuerdo a fuentes del Sindicato Mexicano de Electricistas fue este despacho el encargado de la demanda ante la que se ampararon y en la que el Segundo Tribunal Colegiado en Materia de Trabajo del Primer Circuito, les dio la razón.

Es decir 66 millones de pesos por un servicio que terminó en contra del Gobierno Federal. Esto a pesar que tanto la Secretaría del Trabajo, la Secretaría de Energía así como la Presidencia de la República cuentan con departamentos jurídicos.

Todos los demás abogados cobraron pagos de medio millón o un millón de pesos, en promedio.

Información reservada, mentiras y juicios perdidos han sido la constante desde hace tres años en este caso que muchos daban por muerto, y que ahora da muestras de estar más vivo que nunca.

En el régimen priista era costumbre dejar al sucesor problemas sociales, deudas, devaluación o conflictos armados. Eran del mismo partido y tenían que aguantar el vendaval.

Todo indica que Felipe Calderón quiere mantener viva esa añeja tradición.

Fuente: Reporte Indigo

lunes, 12 de noviembre de 2012

Reforma Laboral, pirotecnia en el Congreso

11 noviembre 2012

Martin Esparza

Como en las fiestas populares donde nunca faltan los llamativos juegos pirotécnicos que tras de sí dejan una densa cortina de humo que todo lo confunde, lo mismo parece acontecer con la reforma laboral, tan llevada de una cámara a otra, primero como iniciativa preferente y ahora como modificada minuta senatorial.

Nada queda en claro sobre temas trascendentes para el futuro de los trabajadores, como la democracia, la transparencia sindical y las afectaciones a asuntos de primer orden, como la seguridad social.



Empero, de toda la trama política y legislativa montada en torno a su polémica aprobación, a los trabajadores y a los sindicatos les ha quedado bien claro que si quieren realmente luchar por la defensa de sus derechos sindicales, deben empezar a marcar una clara línea divisoria de gobiernos y partidos para autentificar y hacer valer su autonomía.

No hay asomo a la menor duda de que hace varias décadas, en todo el mundo, el predominio del modelo neoliberal ha buscado restar fuerza a los sindicatos, y de manera especial a las organizaciones independientes que han enarbolado, con sus contratos colectivos de vanguardia, la lucha de toda la clase trabajadora. Por supuesto que México no es la excepción.

Por esta razón cae en el terreno de lo inexplicable que hasta la propia izquierda política se haya enfrascado, en el Senado de la República, en la denodada búsqueda de una reforma sindical más que laboral, es decir, que antepusiera el interés político de arremeter contra el corporativismo del Partido Revolucionario Institucional a la prioridad de debatir temas como la contratación por hora, los contratos de prueba y capacitación, las enfermedades de trabajo. En esta inercia, sencillamente no analizaron el verdadero sentido de las afectaciones de los derechos individuales de los trabajadores.

Y ni qué decir del tema de los salarios mínimos a los que los empresarios ya anticipan con otorgar un micro aumento de entre el 4.5 y 5 por ciento. El año pasado, apenas llegó a un 4.3 por ciento. Una auténtica burla si consideramos que con los gasolinazos, los aumentos al gas doméstico, al huevo y a otros productos de primera necesidad, la canasta básica ahora es un artículo de lujo para millones de familias de escasos recursos. Rubros de elemental justicia social como éstos pasan como el día y la noche en el Congreso de la Unión, inadvertidos e inexistentes si los comparamos con los jugosos sueldos de los legisladores.

Voces de expertos, no sólo en materia jurídica sino económica, coinciden en señalar que la contrarreforma calderonista tiene un origen ciento por ciento empresarial, que no busca elevar el nivel de vida de millones de mexicanos, sino llevar a niveles de precarización su mano de obra. No puede aceptarse bajo ningún sentido que los partidos políticos, incluidos los de la izquierda, pretendan aprobar cambios en la materia que sólo contribuirán a legalizar la explotación laboral y a polarizar, aún más, la concentración de la riqueza en unas cuantas manos. Como si México no fuera ya un país de abismales diferencias y contrastes sociales.

El camino que le dejan como alternativa a los trabajadores sólo es uno: optar por la ruta de la organización a través de una necesaria unidad de todos los sindicatos para integrar un gran frente nacional de defensa, pues ya quedó demostrado que tanto a los partidos políticos, como al gobierno, les tiene sin cuidado que sea la clase trabajadora la que pague las consecuencias de la crisis financiera.

Ya varias organizaciones del Congreso del Trabajo han alzado la voz en contra de las decisiones legislativas de sus representantes populares, pues tras evaluar a conciencia las graves implicaciones que traerá a la existencia de los propios sindicatos la puesta en marcha de la reforma laboral propuesta por Calderón, han calificado como una traición el voto de sus diputados y senadores a favor de la entonces iniciativa preferente.

Deben plantearse los caminos a seguir para informar y crear conciencia a los trabajadores sobre las afectaciones que esta calamidad jurídica traerá a su depauperado nivel de vida, y peor todavía, para que los millones de jóvenes que inician su vida laboral se enteren a detalle de la pérdida de derechos que enfrentarán como trabajadores eventuales bajo el esquema de los contratos de prueba o de capacitación.

Es hora de que los sindicatos retomen su función elemental de ser los legítimos representantes y defensores de los trabajadores, para que a través de las movilizaciones y la integración de foros en una gran consulta nacional ocupen el vacío que no han querido llenar los partidos políticos, que antes que nada debieron consensuar con la clase trabajadora la controversial iniciativa.

Es responsabilidad del Congreso atender a todas las partes implicadas, pero sus integrantes la están rehuyendo. Cientos de voces quieren ser escuchadas; hay decenas de estudios que plantean alternativas más acordes a lograr una equitativa y sana relación entre el capital y el trabajo que deben ser tomados en cuenta, pues en su elaboración participan verdaderos expertos en la materia y no políticos advenedizos o subordinados a los caprichos e intereses de los políticos en turno.

Ahora que la minuta del Senado está de regreso en la Cámara de Diputados, aderezada con los asuntos de la transparencia y democracia sindical, la cortina de humo que surge tras la pirotecnia legislativa se hace más densa, ocultando a los trabajadores el verdadero sentido y fin de la contrarreforma.

El común denominador es que para todos los partidos la prioridad no son los sindicatos y, claro, menos la clase trabajadora. El momento de que cada quien pinte su raya ha llegado. Las organizaciones gremiales han tomado conciencia de que si no se defienden por sí mismas nadie las va a defender. Veremos, pues, de qué lado están la fuerza y la razón de millones de mexicanos.

*Secretario general del Sindicato Mexicano de Electricistas

Fuente: Contralínea 310 / Noviembre de 2010

Retomar #ReinstalaciónAlSME dirigido a la @SCJN

domingo, 11 de noviembre de 2012

Razones para eliminar la TV -- Jerry Mander



Créditos a quien corresponda, este video fue encontrado en internet, la responsabilidad de http://smirmidones.blogspot.mx es solo por su difusión.

sábado, 10 de noviembre de 2012

Se cancela marcha del domingo 11 de nov



Fuente: Fernando Oliva Quiróz, Srio. del Trabajo del SME

Entrevista a Martín Esparza por ABC Radio. 9 nov 12



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#SMEitasíguemeytesigo

Llamado a formar comunidad twittera @smirmidones

Se agudiza conflicto en la UACM

Por Ivonne Cedillo
México, D.F. 9 de noviembre 2012.- Después de la toma del edificio administrativo de la Universidad Autónoma de la Ciudad de México (UACM), la mañana de este viernes integrantes del Consejo Estudiantil de Lucha (CEL), del Foro Académico, de los Consejeros Universitarios a Favor del Voto y la Legalidad, de los Trabajadores en Lucha (TEL) y del Sindicato Único de Trabajadores de la UACM, exhortaron a la rectora Esther Orozco a que no ponga de pretexto el pago de los trabajadores, pues dijeron que no existe razón alguna para no realizar el desarrollo de la nomina.

Desde temprana hora, trabajadores afines a rectoría e integrantes de la Red de Estudiantes, bloquearon la avenida Eugenia con el objetivo de exhortar a los paristas la liberación del edificio, pues dijeron que ellos son los causantes de impedir el pago de mil 800 trabajadores.



En conferencia de prensa, Rubén López, estudiante de filosofía y miembro del CEL indicó que desde temprana hora y como “muestra de flexibilidad” habían invitado a que entrara una comisión de personas del área de hacienda para que realizara los mecanismos pertinentes para el pago, sin embargo dijo que no había sido aceptada la propuesta porque el trabajador Pedro Moya había incitado a los trabajadores para que se rechazara.

“Nosotros no podemos retener el pago ni el dinero pues la administración tiene la facultad para que entablen pláticas con el banco…”. Expresó Rubén.

Por su parte María Auxilio Heredia Anaya, Secretaria General del Sindicato Único de Trabajadores de la UACM, aseguró que la dispersión de la nomina podía efectuarse desde el mismo banco y ya había entablado una plática con el Secretario General Jesús Fandiño Armas, quien se comprometió a realizar las medidas pertinentes. Por último afirmó que si los pagos no se llevaban a cabo tomarían las medidas adecuadas el próximo lunes.

Con relación a la decisión de tomar el edificio administrativo, el estudiante Roberto López indicó que la acción era una “Toma política que obedecía a las tres semanas de espera desde que la rectora rompió la mesa de negociación, así mismo que se trataba de una forma de presionar al Gobierno del Distrito Federal para que cumpliera su papel como coadyuvante en el dialogo de negociación y retirara el apoyo político a Orozco.

Por lo anterior, dentro de las solicitudes del CEL, del Foro Académico, del TEL, de los Consejeros Universitarios a Favor del Voto y la Legalidad, así como del Sindicato Único de Trabajadores de la UACM se encuentran:

Se generen inmediatamente las condiciones para establecer los mecanismos para el cumplimiento de los acuerdos de Casa Lamm, y las resoluciones de la Comisión Mixta para conformar legalmente el Tercer Consejo Universitario.

Exigen a la Rectora Esther Orozco y a la Contralora, el inmediato e irrestricto cumplimiento de la Recomendación 14/2012 de la Comisión de Derechos Humanos del Distrito Federal (CDHDF).

Finalmente, reiteraron la invitación al ex candidato Andrés Manuel López Obrador para que desmienta que él es el que dirige la lucha uacemita; así mismo descalificaron que el “autodenominado” CU estuviera sesionando en Casa Talavera pues agudizaba el conflicto.

La avenida Eugenia, fue liberada alrededor de las tres de la tarde tanto por el grupo a fin a la rectora como por los críticos a ella; sin embargo al enterarse de que los consejeros se encontraban sesionando en ese momento y aprobaban la entrada de la fuerza pública a los planteles, provocó que padres de familia, estudiantes y profesores permanecieran en las banquetas.

Fuente: Somos el medio

COMUNICADO URGENTE A TODA LA RESISTENCIA

Por acuerdo del Pleno del Comité Central y la Comisión de Trabajo de nuestro Sindicato Mexicano de Electricistas se comienza a partir del día de hoy una Campaña Masiva de Envió de Cartas a la Suprema Corte de Justicia de la Nación con el propósito de demandar la confirmación y ejecución de la Sentencia del Segundo Tribunal Colegiado de Circuito en Materia del Trabajo que nos otorga el derecho a la sustitución patronal de Comisión Federal de Electricidad.



La Campaña se desarrollará de la siguiente manera:

1. Cada compañero en resistencia, activo o jubilado, como mínimo tiene la responsabilidad de promover una carta con 10 firmas y entregarla en las oficinas de la Secretaria del Exterior del SME (Insurgentes 98, Octavo piso), sin haber límite para que los compañeros que así los deseen puedan entregar cualquier número de Cartas con sus 10 respectivas firmas. Entre más Cartas mucho mejor.

El Texto de la Carta se anexa a esta comunicación para que en su caso pueda ser bajado y reproducido para su amplia difusión.

En otra modalidad, la imprenta del SME estará surtiendo Cartas impresas a partir del día Lunes próximo. El plazo para entregar las Cartas es al día 30 de Noviembre.

2. En otra modalidad los ciudadanos de todo el país solidarios con el SME, podrán adherirse a esta campaña mediante el envió directo de la Carta a los correos de los Ministros de la Suprema Corte de Justicia de la Nación a partir de su publicación en nuestros sitios web: www.sme.org.mx y www.sme1914.org a donde aparecerá la lista de correos electrónicos de la SCJN.

3. Haremos las gestiones para promover esta misma campaña a nivel internacional a través de la página de LabourStar.

¡¡HOY LA TAREA CENTRAL DE NUESTRO MOVIMIENTO ES HACER VALER LA SENTENCIA DEL SEGUNDO TRIBUNAL COLEGIADO DE CIRCUITO QUE NOS DA LA VICTORIA JURIDICA!!

¡¡SUMÉMONOS AL PLAN Y LINEAS DE ACCION DEL SME!!

¡¡ADELANTE COMPAÑEROS EN RESISTENCIA ... NI UN PASO ATRÁS!!

José Humberto Montes de Oca. Secretario del Exterior.



NOTA::

LA CARTA LA PUEDEN BAJAR EN: www.sme.org.mx o en www.sme1914.org

Fuente: Humberto Montes de Oca, Srio. del Ext. del SME

martes, 6 de noviembre de 2012

Se exhorta a la JFCA de cabal cumplimiento a la sentencia del Segundo Tribunal Colegiado



Créditos a quien corresponda, este video fue encontrado en internet, la responsabilidad de http://smirmidones.blogspot.mx es solo por su difusión.

EXIGIMOS JUSTICIA INMEDIATA PARA EL SINDICATO MEXICANO DE ELECTRICISTAS

Sr. Ministro Juan Silva Meza, Presidente de la Suprema Corte de Justicia de la Nación.
Sr. Felipe Calderón Hinojosa, Presidente México.
Sr. Alejandro Poiré Romero, Secretario de Gobernación.
Sra. Rosalinda Vélez Juárez, Secretaria de Trabajo y Previsión Social.
Sr. Eduardo Andrade Salaverría, Presidente de la Junta Federal de Conciliación y Arbitraje.
Al cuerpo Diplomático de México en el Mundo.

Las personalidades, organizaciones sociales, instituciones y sindicatos nacionales e internacionales abajo firmantes, exigimos a las autoridades mexicanas dar cabal cumplimiento al Amparo Directo otorgado por el Segundo Tribunal Colegiado de Circuito en Materia de Trabajo a favor del Sindicato Mexicano de Electricistas (SME), el pasado jueves 13 de Septiembre.

Este amparo representa una oportunidad histórica para que el Gobierno Mexicano restablezca la legalidad y restituya los Derechos Laborales y Humanos de los trabajadores agremiados al SME, que a partir del ilegal decreto de extinción de su fuente de trabajo, Luz y Fuerza del Centro (LyFC), en octubre del 2009, fueron despedidos injustificadamente; así mismo, este decreto violó Convenios Internacionales de la Organización Internacional del Trabajo (OIT) y el Acuerdo de Colaboración Laboral del TLCAN, ambos suscritos por el Estado Mexicano. Además del despido injustificado, los miembros del SME, han sufrido, durante más de tres años, los efectos sociales y sicológicos de una permanente campaña mediática de criminalización y represión política por parte de las autoridades federales mexicanas, uno de cuyos saldos es el encarcelamiento de 10 trabajadores que permanecen presos. ¡Ya es tiempo de que se haga justicia!
El Amparo Directo ganado por el SME en contra de una resolución de la Junta Federal de Conciliación y Arbitraje (JFCA) que pretendia terminar con las relaciones laborales y Contrato Colectivo del SME, menciona claramente, que:

No se demuestra la existencia de un “caso fortuito” o causa de “fuerza mayor” como causal para el despido de los trabajadores.

La JFCA emitió un laudo violatorio de la Ley Federal del Trabajo, al dar por terminadas las relaciones individuales y colectivas entre LyFC y el SME.

La JFCA se pronunció de forma prematura e ilegal al negar la existencia de un patrón sustituto.

La Comisión Federal de Electricidad (CFE) asumió la prestación del servicio de energía eléctrica que venía desempeñando Luz y Fuerza del Centro, por lo que se convirtió desde el primer momento en patrón sustituto de los trabajadores del SME.

Con lo anterior queda claro que las relaciones de trabajo individuales y colectivas entre Luz y Fuerza del Centro y los trabajadores del Sindicato Mexicano de Electricistas continúan existiendo; que la Comisión Federal de Electricidad utilizó la infraestructura de LyFC para brindar el servicio de energía eléctrica y en consecuencia es patrón sustituto de los miembros del SME, por lo que procede la reinstalación laboral inmediata de los 16,599 trabajadores que no aceptaron su liquidación.

Exhortamos a las autoridades mexicanas a no caer en la tentación de presentar nuevas trabas jurídicas, tácticas dilatorias o temerarios desacatos en agravio de la legalidad y de la sociedad en general; las exhortamos a que de una vez por todas se dé una solución a este conflicto con más de 3 años de existencia, cuya afectación a miles de trabajadores y sus familias no puede prolongarse un día más.

En el mismo sentido pedimos al Gobierno Mexicano, conceda la libertad inmediata a los 10 presos políticos del SME.

¡¡PATRÓN SUSTITUTO YA PARA LOS 16,599 TRABAJADORES EN RESISTENCIA DEL SME!!

¡¡LA LEY NO SE NEGOCIA!!

Atentamente.

Personalidades: Dr. Pablo González Casanova, Carlos Fazio, Guillermo Almeyra, Javier Sicilia, Miguel Concha Malo, Obispo José Raúl Vera López, Fr. Miguel Concha Malo, Rafael Barajas “El Fisgón”, Marco Antonio Velázquez Navarrete, Alberto Arroyo Picard, Magdalena Gómez, Alfredo López Austin, Héctor Díaz-Polanco, Dr. José Alfonso Bouzas Ortiz, Andrés Barreda Marín, Ana Esther Ceceña, Octavio Rosas Landa, Armando Bartra, Marcos Tello Chávez, Dr. Gilberto López y Rivas, Miguel Álvarez Gándara, Dolores González Saravia, Fr. Gonzalo Ituarte Verduzco, Isabelle Cauzard, Rodolfo Chávez Galindo, Víctor García Zapata, Amparo Merino Segovia, Javier Aguilar García, Bernardo Ezeta, Patricia Colchero, Patricia Barba Ávila, Rosalío Morales Vargas, Magdiel Sánchez, Carlos Acuña Hernández, María de la Luz Acuña Cano, Edgar Cortez, Pablo Romo Cedano, Raúl Romero Gallardo, Laura Mora Cabello de Alba Gerardo Javier Alva Castillo, Ma. Fernanda Justo Hernández, Marcos Rafael Jiménez Gutiérrez, Andrés Lozano, Julio Armando Ponce, Ángel Avalos Torres, José Rosario Marroquín Farrera, Jesús Ramírez Cuevas, Luciano Concheiro, Claudia Gómez Godoy, Guadalupe Espinoza Sauceda, Enrique Ávila Carrillo, Dra. Paulina Fernández Christlieb, Marcos Fuentes, Juan Francisco García Reynoso, Guillermo Popoca Boone, Emilio Reza Araujo, Jorge Castañeda Zavala, Elsa Gabriela Coss Rojas, María Angélica Serna Suarez, Juan Luis Segura Cortés, Víctor Manuel Fernández Andrade, Roberto Ramírez Carrillo, Rafael Cervantes Ramírez, Elizabeth Aguilar Cruz, Laurencio Rojas Báez, Miguel Ángel Ojeda Animas, María Félix Aguilera, Roberto Ovalle, Francisco Ortiz Fuentes, Maura Elena López Aguilar, María de Jesús Robles, Jesús Soto González, Manuel Contreras Cordero, Efraín Núñez García, Marcelo Hernández Santos, Pablo Arenas, Armando de la Rosa, Ruth Nora Ibarra, Alejandro Saldaña, Norma Gamboa Carrera, Irma Estrada Martínez, Horacio Almanza Alcalde, Dr. Javier Aguilar García, M.C. Inés Navarro, Pbro. Evangélico José Luis Velazco Medina, Lis Márquez, Dr. Rafael Chávez Rivera, Juan Carlos Caloca, Lorena Aguilar Aguilar, Beatriz Stolowicz, Fidel Fuentes López, Marta Olmo Gascón, María Teresa Jardí, Héctor Salazar Porcayo, Verónica Oikión Solano, Profra. María Guadalupe Sánchez Corona, René Santiago Moreno, Boris Sánchez Corona, Bertha Sánchez Corona, Susana Córdova Santamaría, Jesús Camarillo Gutiérrez, Celia Puente Rivas, Lilia Enríquez, Ezequiel Maldonado López.

Organizaciones sindicales: Napoleón Gómez Urrutia, Secretario General (SG), del Sindicato Nacional de Trabajadores Mineros Metalúrgicos Siderúrgicos y Similares de la República Mexicana (SNTMMSYSRM); Juan Ayala Rivero, Presidente del Sindicato Único de Trabajadores del Gobierno del Distrito Federal (SUTGDF); Rodolfo G. González G., SG de la Confederación Regional Obrera Mexicana (CROM); Ing. Agustín Rodríguez Fuentes, SG del Sindicato de Trabajadores de la Universidad Nacional Autónoma de México (STUNAM); Carlos Díaz Chávez, SG de la Asociación Sindical de pilotos Aviadores (ASPA); Francisco Hernández Juárez, SG del Sindicato de Telefonístas de la República Mexicana (STRM); Prof. Juan José Ortega Madrigal, SG la Sección XVIII del SNTE-CNTE; Prof. Francisco Nicolás Bravo, SG de la Sección IX del SNTE-CNTE; Profr. Claudio José San Juan, SG del Sindicato Autónomo de Trabajadores de la Educación de Veracruz (SATEV); Rogers Arias García, SG del Sindicato Independiente de Trabajadores de la Educación de Tabasco (SITET); Frente Amplio Democrático Educativo del SNTE, sección 28, Sonora; Benito Bahena Lome, SG de la Alianza de Tranviarios de México; Hugo Manuel Bautista, SG del Sindicato de Trabajadores del Transporte de Pasajeros del Distrito Federal (STTPDF); Antonio García Mendoza, SG de la Federación de Sindicatos de Trabajadores de los Gobiernos de los Estados, Municipios e Instituciones Descentralizadas de los Estados Unidos Mexicanos (FESTEM); Juan Gutiérrez S., SG de la Confederación de Obreros, Campesinos y Empleados de México (COCEM); Alberto Juárez Bautista, SG de la Federación Sindical AJB; Ramón Vinoy Flor, Coordinador de la Confederación Obrera de México (COM); Gerardo Calderón Hernández, SG del Sindicato de Trabajadores de METLIFE (SINTRAMETLIFE); Saúl Pérez Peñaloza, SG del Sindicato de Trabajadores de la H Cámara de Senadores (STHCS); del Oliverio Esquivel Reyes, Coordinador México de la Federación sindical Mundial (FSM); Antonio Venadero, SG del Sindicato Independiente de Trabajadores de la Universidad Autónoma Metropolitana (SITUAM); José Luis Vega Núñez, SG del Consejo Nacional de Trabajadores (CNT); Ing. Moisés Flores Salmerón, SG de la Unión Nacional de Técnicos y Profesionistas Petroleros (UNTyPP); Miguel Hernández Vázquez, SG del Sindicato Único de Trabajadores del Instituto de Educación Media Superior (SUTIEMS); Ma. Auxilio Heredia, SG del Sindicato Único de Trabajadores de la Universidad de Autónoma de la Ciudad de México (SUTUACH); Claudia Durán Rojas, SG del Sindicato de Trabajadores Académicos de la Universidad Autónoma de Chapingo (STAUACH); Eder Mendoza Gallegos, SG de la Federación Nacional de Agrupaciones Sindicales (FNAS); Antonio Venadero Valenzuela, SG del Sindicato Independiente de Trabajadores de la Universidad Autónoma Metropolitana (SITUAM); Temístocles Policloniades, S del Ext del Sindicato Único de Trabajadores del Instituto Nacional de Trabajadores de la Industria Nuclear (SUTIN); Humberto Coporo Quintana, SG del Sindicato Independiente de Trabajadores de la Secretaria de Seguridad Publica Federal (SITSSPF); Jorge Robles, Frente Auténtico del Trabajo (FAT); José Luis Flores Rosas, SG del SITRAyD-Conalep, Nayarit; Felipe Echenique March, SG Sindicato Académicos INAH; Adrián García Enríquez Coordinación-Oaxaca de la Federación Sindical Mundial (FSM), Efraín Arteaga Domínguez Coordinación Zacatecas de la FSM; Luis Alfonso Vargas Silva, SG de la Central Unitaria de Trabajadores de México (CUT); José Ángel Rodríguez Valdez, SG del Sindicato de Empleados Públicos del Sistema Intermunicipal de los Servicios de Agua Potable y Alcantarillado de la Zona Metropolitana de Guadalajara (SEPSIAPA); Gabino Jiménez Velasco, Coordinado de la Campaña contra los Contratos Colectivos de Protección Patronal en México CICCPP; Federación de Trabajadores del Distrito Federal. Mtro. Jorge Rountree Cons, SG del Sindicato de Trabajadores Académicos de la Universidad de Sonora; José Luis Solorio Alcalá, SG del Sindicato de Trabajadores Unidos de Honda de México; José Federico González Hernández, SG del Sindicato Nacional de Trabajadores de General Tire de México; Profesor Álvaro López Ríos SG de La Unión Nacional de Trabajadores Agrícolas; Sindicato de Trabajadores de la Industria Metálica, Acero, Hierro, Conexos y Similares; José Luis Mondragón, SG de la Federación Revolucionaria de Empleados y Trabajadores del Distrito Federal (FRET); Francisco Javier Godínez Castellanos, SG del Sindicato Democrático de Bomberos de Jalisco (SIDEBOJA); Miguel Ángel Yúdico Colín, SG del Sindicato Nacional de Trabajadores de Transportes, Transformación, Aviación, Servicios y Similares (SNTTTASS); Juan P. Viña, Secretario de la Confederación Obrera de México (C.O.M.); Pedro García Saucedo, SG del Sindicato Único de Trabajadores al Servicio del Estado, Municipios y Organismos Paraestatales de Zacatecas (SUTSEMOP); Salvador Alejandro González Ruiz, Secretario de Relaciones del Sindicato Único de Trabajadores de la Universidad de Guadalajara (SUTUdeG); Mayela Trueba Hernández, SG de la CROM, Edo de México; José Luis Hernández Andrade, S de Relaciones de la Central Independiente de Obreros Agrícolas y Campesinos (CIOAC); Alfredo Gabriel López Fabre, S de Relaciones del Sindicato Democrático de Trabajadores de Pesca y Acuacultura (SDTPA-Sagarpa); Álvaro López Ríos, SG de la Unión Nacional de Trabajadores Agrícolas (UNTA); Artemio Ortiz Hurtado, SG del Comité Ejecutivo Nacional Democrático del SNTE (CEND DEL SNTE); Frente auténtico del trabajo (FAT).

Organizaciones sindicales y sociales del Estado de Quintana Roo: Isidoro Victoriano Mendoza de la Cruz, SG del Sindicato Único de Trabajadores de la Industria Gastronómica, Refresquera, Alimenticia, Hotelera, Turística, Bares, Cantinas, Similares y Conexos; Andrés Mora Vidal SG del Sindicato Único de la Transformación, Similares y Conexos; José Salvador Arauz Arredondo SG del Sindicato Único de la Construcción en General, Terraceros, Transportistas, Similares y Conexos; Jesús Baltazar Díaz SG del Sindicato Único de Electromecánicos, Mantenimiento en General, Operación Industrial, Áreas Públicas, Jardineros, Choferes, Servicio en General, Similares y Conexos; Jorge Luis Arceo González, SG del Sindicato Único de Carga y Descarga, Estibadores Terrestres, Marítimos, Operadores de Grúas, Montacargas y Tricicleros, Similares y Conexos; Lorenzo Campos Fuentes, Representante en el Municipio de Cozumel; Blas Jiménez Quevedo, Rpte. en el Mpio. de Tulum; Jorge Koyok Casanova, Rpte en el Mpio. de Solidaridad; Cirilo guzmán Reyes Secretario de Conflictos del Sindicato de la Construcción; Óscar Marcos Gómez Derbéz, Coordinador General de la Construcción, Federación Sindical de Obreros y Campesinos del Estado (FSOC).

Organizaciones sindicales y sociales del Estado de Zacatecas: Federación de Sindicatos de Trabajadores al Servicio del Estado de Zacatecas (FSTSE); Sección 46 del Sindicato de Telefonistas de la República Mexicana (STRM); Magisterio Democrático Sección 34 del SNTE, Comité Ejecutivo Seccional Democrático, Sección 34, Coordinadora del Magisterio Democrático, Sección 58; Coordinación Zacatecas de la FSM; Gonzalo Franco, SG Sindicato Único de Trabajadores de la Universidad Tecnológica de Zacatecas (SUTUTEZ); Sindicato Único de Trabajadores Académicos de CONALEP (SUTACZ); Sindicato Único de Personal Docente y Administrativo de COBAEZ (SUPDACOBAEZ); Sindicato de Trabajadores de CECYTEZ (STCECYTEZ y EMSAD); Sindicato de Trabajadores de Confianza de CECYTEZ (SITCOCECYTEZ); Secciones 95, 201 y 166 del Sindicato Minero; Sección 59 del Sindicato Nacional de Trabajadores de la SEMARNAT (SNTSEMARNAT); Sección 29 del Sindicato Nacional de Trabajadores del Seguro Social (SNTSS); Asociación Nacional de Empresas Comercializadoras del Campo (ANEC); Movimiento del Sindicalismo Revolucionario (MSR); Ex Braceros en Lucha, A.C.; Solidaridad Cívica Zacatecana, AC, Promotora por la Unidad Nacional Contra el Neoliberalismo (PUNCN); Colectivos y Trabajadores de La Otra Cultura; Federación de Organizaciones Sociales del Estado de Zacatecas; Movimiento Avance por la Democracia (FOSEZ); El Barzón Zacatecano; El Barzón Popular; Red Plural de Mujeres; Frente Popular de Lucha de Zacatecas−Coordinadora Nacional Plan de Ayala (FPLZ-CNPA); Jóvenes por el Socialismo (JPS); Alianza Ciudadana de Comunidades Urbanas y Rurales, A. C. (ACCUR, AC); Integradora Estatal de Productores de Frijol, Comercializadora “Alfonso Medina” SPR de RL; Enlace al Campo, SPR de RL; Ejidos SPR de RL; Vaqueros de La Cocinera, SPR de RL; Tianguis La Campesina; Organización de Lucha Social en Apoyo a Deudores (OLSAD); Organización Social Francisco Villa; MLN-Zacatecas.

Organizaciones sociales: Mtra. Irísela Sánchez Pérez, Coordinadora Asamblea Nacional de Usuarios en Defensa de la Energía Eléctrica (ANDUEE), Verónica Munier, Red Nacional de Resistencia Civil contra las Altas Tarifas de la Energía Eléctrica; Centro de Información para Trabajadoras y Trabajadores (CITTAC), Casa de Cultura Obrera (Tijuana); Juan Gerardo Domínguez, Unión de Sociedades Cooperativas de Actividades Diversas del DF; Mexicanos Sin Fronteras; Estudiantes de Posgrado de Derechos Humanos de la UACM (Universidad Autónoma de la Ciudad de México); Organización Tlacaélel; Saúl Vicente Vázquez, SG de la Unidad de la Fuerza Indígena y Campesina (UFIC); Red Mexicana de Acción frente al Libre Comercio (RMALC); Alianza Mexicana por la Autodeterminación de los Pueblos (AMAP); Héctor de la Cueva, Centro de Investigación Laboral y Asesoría Sindical (CILAS); Ediciones del Poder Popular; Alfonso Díaz Reyes, Frente Regional Ciudadano en Defensa de la Soberanía de Michoacán; Trinidad Ramírez del Valle Frente de Pueblos en Defensa de la Tierra (FPDT); Susana Margarita Clares Fuentes, Carlos Beas de la Unión de Comunidades Indígenas de la Zona Norte del Istmo (UCIZONI); María Teresa Guerrero Olivares Consultoría Técnica Comunitaria; Pastor Ricárdez, Gerardo Yamamoto Villavicencio, Coordinador del Movimiento Jurídico Nacional EL BARZON; Frente Autónomo Universitario; Frente Amplio Jalisco; José Martín Velázquez, Comunidades Campesinas y Urbanas Solidarias (COMCAUSA); Daniel Enrique Bastida, Unión de Cooperativas Esperanza; Román Bautista Ramírez y Jesús Ramírez Funes, Redes Solidarias; Colectivo de Abogad@s; Centro de Orientación y Asesoría a Pueblos Indígenas; Jóvenes Ante el Desastre y la Emergencia Nacional; Colectivo Bolivariano (MBP-M). Oaxaca; Ernesto Jiménez Olín, Unión Popular Valle Gómez; Dialogo Nacional; Mauricio Macossay, Kolectivo El Rebelde, Mérida, Yucatán; Eva Pérez Gómez, Instituto Mexicano para el Desarrollo Comunitario A.C.; Unión Campesina Indígena Popular "Cuauhtémoc" A.C.; Movimiento Urbano Popular, MUP-FNAMUP; Unión Popular Revolucionaria Emiliano Zapata (UPREZ); Movimiento de Unificación y Lucha Triqui, (MULT); Preparatoria Popular Tacuba, (PPT); Movimiento Habitacional Frente Torres 10 UPREZ-Centro; Comité Ciudadano, El Nuevo Contrato Social Raíz AC; Unión de Artesanos Indígenas Otomíes; Organización de Indígenas Mazahuas de San José del Rincón; Centro Jalisciense del Adulto Mayor y el Migrante; Raúl Lugo Rodríguez, Indignación A.C. Mérida, Yucatán; Frente Ciudadano en Defensa de la Soberanía (FRCDS de Guanajuato); Guillermo May Correa, Foro Maya Peninsular de Yucatán y Quintana Roo-CNI; Sección Mexicana de la Coalición Trinacional en Defensa de la Educación Pública; Fernando Tapia Rivera, Grupo Plural Guerrero y San Luis Potosí; Lourdes Ontiveros, Red de la Esperanza; Francisco Javier León Castillo, #Yosoy132, Pachuca; Marcela Canedo Castro, Wendy de la Rosa y Armando Osorio Chulín #Yosoy132-IPN.

Organizaciones de derechos humanos: Servicios y Asesoría para la Paz (Serapaz); Movimiento por la Paz con Justicia y Dignidad; Lic. Rita Marcela Robles Benítez Centro de Investigación y Promoción Social, A.C. (CIPROSOC); José Rosario Marroquín Farrera, Centro de Derechos Humanos, Miguel Agustín Pro Juárez; Rocío Culebro, Instituto Mexicano de Derechos Humanos y Democracia A.C.; Liliana Vázquez Roa, Movimiento de Cristianos Comprometidos; Lic. Rita Marcela Robles Benítez, Centro de Investigación y Promoción Social, A.C. (CIPROSOC); Grupo Propaz, Chihuahua; Colectivo Rosario Castellanos por los Derechos Constitucionales Tonanzin AC.

Organizaciones ecologistas: Asamblea Nacional de Afectados Ambientales; Sergio Serrano Soriano e Ing. Mario Martínez Ramos Pro San Luis Ecológico A.C./ Frente Amplio Opositor a Minera San Xavier (FAO); Comité Salvemos Temacapulin, Acasico y Palmarejo y Temaca A.C.; Gloria Cruz Flores, Taller Salud y Naturaleza; Esperanza Salazar, Bios Iguana A.C.;

Organizaciones políticas: Organización Política del Pueblo y los Trabajadores (OPT); Partido del Trabajo (PT); Movimiento de Liberación Nacional (MLN); Colectivo Radio-AMLO; Partido Revolucionario de los Trabajadores (PRT), Movimiento de Unidad Socialista (MUS), Organización Política Cultural-CLETA; Grupo Tacuba; Jóvenes en Resistencia Alternativa; Juan Antonio Flores Robles Organización Política Proletaria (OPP); OPT-Jalisco; Agrupación Política Nacional (APN) “Nueva Democracia”; Movimiento de Transformación Social (MTS); Cuauhtémoc Ruiz, Partido Obrero Socialista, Mario Saucedo Pérez, Movimiento Cívico; Movimiento Nacional Organizado "Aquí Estamos"; Coordinadora Del Movimiento de Mujeres Clara Zetkin del PT.

Organizaciones sindicales internacionales: Víctor Báez Mosqueira, SG de la Confederación Sindical de Trabajadores de las Américas (CSTA); Fernando López, Industriall Global Union; Congreso Mundial de Docentes de la Federación Internacional de Sindicatos de Educadores (FISE); Peter Waldorff SG de la Public Service International (ISP); Luis Isarra Delgado SG de la Confederación Continental de Trabajadores y Trabajadoras de los Sindicatos del Agua y Medio Ambiente de América (CONTAGUAS); Confederación Latinoamericana de Trabajadores Estatales (CLATE); Asociación Latinoamericana de Abogados Latinoamericanos (ALAL), Encuentro Sindical Nuestra América (ESNA); Valentín Pacho SG adjunto de la Federación Sindical Mundial (FSM); Ramón Cardona, Secretario América Latina y el Caribe de la FSM; Igor Urrutikoetxea, SG de la Unión Internacional de Sindicatos del Metal y la Minería (UIS-FSM); Mario Morant, Secretario de Relaciones Internacionales e Institucionales de la Federación Latinoamericana de Trabajadores de la Educación y la Cultura (FLATEC).

Organizaciones y personalidades internacionales

Alemania: Dr. Klaus Engert, Presidente del Consejo Personal MDK-Bavaria.

Argentina: Central de Trabajadores de Argentina (CTA), Federación Judicial de Argentina (FJA), Asociación Judicial Bonaerense (AJB), Asociación de Empleados Judiciales Bonaerenses (AEJB), Movimiento Territorial Liberación (MTL), Asociación de Enseñanza Media y Superior (ADEMYS); Ana Luisa Fernández, Centro de Investigación y Formación de la República Argentina (CIFRA-CTA); Julio Fuentes, SG de la Asociación Trabajadores del Estado de Argentina (ATE); Alejandro Cabrera Britos, delegado general ATE; Claudio Katz y Eduardo Lucita, Economistas de Izquierda (EDI); Claudia Giacomett investigadora; Andrés Ruggeri Director Programa Facultad Abierta (UBA).

Brasil: Wagner Gomes Presidente de la Central de Trabajadores y Trabajadoras de Brasil (CTB); João Batista Lemos, Secretario de Relaciones Internacionales de la CTB; Lilian Arruda y Helio Da Costa, Instituto Observatorio Social (IOS); Ubiraci Dantas de Oliveira, Presidente y Maria Pimentel Secretaria de Relaciones Internacionales, Central General de los Trabajadores; Tárzia Medeiros, Partido Socialismo y Libertad (PSOL).

Bélgica: Eric Toussaint, Presidente del Comité por la Anulación de la Deuda del Tercer Mundo (CADTM).

Cambodia: Sa Im Ton, Cambodian Council of National Unions (CCNU).

Canadá: The Canadian Office and Professional Employees Union (COPEU); The Canadian Auto Workers (CAWU); Canadian Union of Public Employees (CUPE); The Canadian Labour Congress (CLC); Confédération des Syndicats Nationaux (CSN), Quebec.

Colombia: Jorge Huaya Martínez, Central Unitaria de Trabajadores de Colombia (CUT-NAL); Carlos Lozano Sierra, Comité Permanente para la Defensa de los Derechos Humanos; Daniel Libreros, Colectivo Ecosocialista; Walter Gallego Medina, María Londoño Alejandra Trujillo, Jaime Ernesto Luna, Universidad Nacional de Colombia (UNC); Julio Puig, Norberto Ríos, Diego Sarasti, Escuela Nacional Sindical.

Chile: Silvia Eloísa Fernández, Fundación CNDA; María Estrella Zúñiga Poblete, Abogada Laboral.

Dominicana: Ángel Méndez, Secretario General de la Federación Obrera Metalúrgica (FOM) de la Republica Dominicana; Central Institucional de Trabajadores Autónomos (CITA).

Ecuador: Paulina Muñoz Samaniego, Red de Organizaciones Sociales Ecuador Decide; Alberto Achito Lubiasa, Autoridad Tradicional Indígena Embera; Maria Isabel Altamirano, Colectivo Feminista – Refundación Socialista, sección de la IV Internacional; Margarita Aguinaga Asamblea de Mujeres Populares y Diversas.

El Salvador: Red de Acción Ciudadana Frente al Libre Comercio e Inversión, Sinti Techan.

Estado Español: Igor Urrutikoetxea, secretario de Relaciones Internacionales de la Central Sindical LAB (País Vasco); Quim Boix, Central Sindical Unitaria (CSU); José Manuel Lahoz Piquero, Organización Trabajadores Zurich Aseguradora (OTZA); Central Sindical Unitaria de Extremadura (CSU); Luís Blanco, SG de la Intersindical Alternativa de Catalunya (IAC); Izquierda anticapitalista del Estado Español (IA); Josep Cruelles i Zapater, Revolta Global – Izquierda Anticapitalista (Cataluña); Antonio Baylos Catedrático de Derecho del Trabajo y de la Seguridad Social de la Universidad de Castilla-La Mancha (UCLM); Centro Europeo y Latinoamericano para el Diálogo Social (CELDS), UCLM, Ciudad Real, España.

Estados Unidos: Cathy Feingold Directora Internacional de la American Federation of Labor and Congress of Industrial Organizations (AFL-CIO); National Lawyers Guild Labor & Employment Committee, AFL-CIO Transport Workers Union of America, AFL-CIO; Robin Alexander, Director de Asuntos Internacionales del United Electrical, Radio and Machine Workers of America (UE); International Brotherhood of Teamsters; Mark Brooks, Utility Workers Union of America; US Labor Education in the Americas Project (USLEAP); Maquila Solidarity Network, United Steelworkers (USW); Dan La Botz, National Writers Union; Manuel Pérez-Rocha, L. Institute for Policy Studies, Washington D.C.

Francia: Michael Lowy, Hervé Do Alto, Frank Gaudichaud, Nuevo Partido Anticapitalista (NPA).

Gran Bretaña: Ian Bruce, Corresponsal de TeleSur.

Grecia: Chysi Lampoudi, Sindicato de Maestros de Escuelas Primarias-Pame.

Honduras: Hilda Guzmán SG, Sindicato de Trabajadores de la Universidad Nacional Autónoma de Honduras (SITRAUNAH).

India: Rajendran Karuppaiah, School Teachers Federation.

Líbano: Dr. Hassan Ismail, National Federation of Trade Union of Workers and Employees in Lebanon (FENASOL).

Martinica: Patrice Mhidi, Groupe Revolution Socialiste.

Portugal: Francisco Louçã, Diputado Federal del Bloque Socialista.

Polonia: Zbigniew Marcin Kowalewski; Pawel Bartolik; Szymon Martys y Lukasz Lugowski, Partido Polaco del Trabajo (PPT); Pawel Szelegieniec; Marcin Starnawski, redactor de Recykling Idei; Grzegorz Maryniec; Piotr Tronina, Grupo por un Partido Obrero; Joanna Lis; Bartosz Lukaszewski; Jacek Drozda; Roland Zarzycki; Katarzyna Bielinska.

Puerto Rico: Rafael Bernabé Riefkohl, candidato a Gobernador por el Partido del Pueblo Trabajador (PPT).

Suecia: Dick Emanuelsson Periodista; Ingrid Storgen, Periodista.

Suiza: Claude Reymod, Secrétaire Sindical Comisión Internacional de la "Communauté Genevoise d'Action Syndicale" (CGAS).

Uruguay; Plenaria Intersindical de Trabajadores – Convención Nacional de Trabajadores, (PIT-CNT); Alejandra Picco, Instituto Cuesta Duarte PIT-CNT.

Venezuela: Orlando Pérez y Luis Matos, Presidente y Secretario General, respectivamente, del Sindicato Nacional de la Fuerza Unitaria Magisterial (Sinafum); Adelaida Zerpa, Plataforma de Lucha de los Consejos Socialistas de Trabajadores y Trabajadoras de la Gran Caracas (PLCSTYTGCCS);

Zimbabwe: Kennias Shamurira, National Union for Education. Research and Technical of Zimbabwe.

Responsable de la Publicación José Humberto Montes de Oca Luna.

Secretario del Exterior del Sindicato Mexicano de Electricistas

Fuente: Facebook
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